MARTHE ROBIN
La personne la plus extraordinaire du XXe siècle
La vie de Marthe Robin, décédée le 6 février 1981, dépasse tout ce que l'on peut imaginer tant par de nombreux phénomènes étonnants que par la splendeur de son rayonnement et surtout de sa vie intérieure. Cette petite femme semblait pourtant dépourvue de tout, une femme très ordinaire, très simple, une paysanne. Sa voix était toute menue. Sa vue presque nulle. Paralysée, recroquevillée, confinée à son lit, elle est demeurée ainsi presque toute sa vie incapable de faire quoi que ce soit. Et chose incroyable, on nous assure qu’elle ne dormait jamais, cela durant 50 ans. Bien plus, et ce fut démontré par des gens compétents, Marthe Robin n'absorbait aucune nourriture, sauf bien entendu l'eucharistie. Et plus encore, elle ne buvait jamais quoi que ce soit, même pas du café que pourtant, jeune femme, elle appréciait beaucoup. On dira que c'est impossible. Je suis absolument d'accord. Au début, je ne le croyais pas. J’avais mes doutes. Et pourtant, cela semble bien vrai, croyez-moi. De toute façon, Dieu est présent et Il agit. Il agit parfois d’une façon tellement spéciale qu’on pourrait dire qu’Il fait alors tout pour nous éveille et nous sortir de notre assoupissement spirituel. Il faut aussi mentionner que Marthe Robin étai stigmatisée.
Marthe Robin avait presque 80 ans quand elle est morte dans le sud de la France, à Châteauneuf-de-Gallaure, après avoir été dirigée et conseillée par un prêtre, le Père Finet. Connue dans de nombreux pays pour être à l'origine des Foyers de Charité, son oeuvre s’est même répandue au Québec, à Sutton en Estrie, à l'Île d'Orléans, près de Québec, et dans la région de Chicoutimi. Ce sont des centres de prière et de retraite spirituelle intense. Cette œuvre internationale est née de son union intime au Christ, comme quoi un chrétien paralysé et dépourvu peut fort bien évangéliser des foules immenses en s'abandonnant à l'Amour foudroyant du Christ. L’Amour, c’est du feu. Ça se répand rapidement. « Je suis venu apporter un feu sur la terre et combien je voudrais qu’il soit déjà allumé ! » (Luc, 12, 49).