Les apparitions de Lourdes
Bernadette.
L'instruction de la cause de béatification de Bernadette, décédée à
Nevers le 16 avril 1879, va nécessiter l’exhumation du corps. Cela se
fait en trois temps : septembre 1909, avril 1919 et avril 1925. A la grande
surprise des observateurs, le corps de Bernadette est découvert intact. Un
véritable mystère qui n'est cependant pas unique au monde. La science et la
médecine émettent des hypothèses.
Depuis le 3 août 1925, le corps de Bernadette repose dans une châsse
de verre située dans la chapelle de l'ancien couvent
Saint-Gildard, à Nevers. Le site est celui de la maison-mère des Soeurs
de la Charité, appelée maintenant "Espace-Bernadette-Soubirous-Nevers". Sur le
visage et sur les mains de Bernadette ont été déposés de très fins masques de
cire.
«Les pèlerins qui défilent à Nevers devant la châsse où demeure ce
corps en attente de la résurrection perçoivent là un témoignage de cette
destinée : la lumière y a jailli de la nuit, et le bonheur, du malheur, comme la
Gloire de la Croix du Christ».
Père René Laurentin
Nevers le 16 avril 1879, va nécessiter l’exhumation du corps. Cela se
fait en trois temps : septembre 1909, avril 1919 et avril 1925. A la grande
surprise des observateurs, le corps de Bernadette est découvert intact. Un
véritable mystère qui n'est cependant pas unique au monde. La science et la
médecine émettent des hypothèses.
Depuis le 3 août 1925, le corps de Bernadette repose dans une châsse
de verre située dans la chapelle de l'ancien couvent
Saint-Gildard, à Nevers. Le site est celui de la maison-mère des Soeurs
de la Charité, appelée maintenant "Espace-Bernadette-Soubirous-Nevers". Sur le
visage et sur les mains de Bernadette ont été déposés de très fins masques de
cire.
«Les pèlerins qui défilent à Nevers devant la châsse où demeure ce
corps en attente de la résurrection perçoivent là un témoignage de cette
destinée : la lumière y a jailli de la nuit, et le bonheur, du malheur, comme la
Gloire de la Croix du Christ».
Père René Laurentin